Ceci va rester un mystère…

Deux possibilités pour y parvenir : Vider l’ensemble du système et relever le compteur pendant le remplissage Calculer le volume en mesurant les longueurs et diamètres de tout le système.

A vérifier! Le tarif des combustibles est relativement similaire en comparant les calories délivrées. La chaudière à bois est par contre plus chère à l’acquisition.

Par contre sur un bâtiment construit dans les années 60 où l’énergie n’était pas un facteur primordial dans le construction, les besoins sont considérables.

Le nombre de livraisons et l’espace de stockage pour un pouvoir calorifique identique serait probablement un problème difficile à résoudre avec un hiver rigoureux et surtout une grande quantité de neige?

Sinon le bois a beaucoup d'avantages : local, renouvelable, le co2 de combustion est recyclé par les forets.

Les capteurs solaires thermiques ne permettent généralement pas de fournir toute la chaleur d’un bâtiment (sauf pour un bâtiment très, très bien isolé). Ils sont généralement utilisés pour produire l’eau chaude sanitaire (env. 50% sur l’année) et comme appoint de chauffage.

Estimation :

Janvier, février, mars 2013 =      18’000 litres
Avril, mai, juin 2013 =                 7’000 litres
Juillet, août, septembre =            2’000 litres
Octobre, novembre, décembre = 12’000 litres

                            Total 2013 = 39’000 litres

Déjà répondu

Le gaz naturel, qui est généralement utilisé pour chauffer les bâtiments, est constitué de méthane.

Le biogaz c’est aussi du méthane. Il est parfois injecté dans le réseau de gaz naturel.

Selon votre rapport le réservoir est de 90’000 litres mais c'est 70’000 litres en réalité.

S'achant que l'on consomme 39'000 litres environ par année, on pourrait faire le plein que tous les deux ans. Mais en fait on ne remplit jamais la citerne complètement.

Les chiffres de consommation ne nous disent pas si c’est beaucoup ou peu. Comment pourrait-on le savoir ?

En comparant avec un bâtiment similaire ou en calculant la consommation au m2 par année pour comparer avec un bâtiment à usage identique mais de dimensions différentes.

Ce que l’on peut dire c’est le type de construction et l’année de construction donnent par principe un bâtiment énergivore. L’énergie de chauffage étant mise au dernier plan de la construction d’origine

Selon votre rapport c’est 90’000 litres mais c'est 70’000 litres en réalité

Dans le temps, il n’y avait pas de pompes et le circuit fonctionnait par thermosiphon.

Aujourd’hui, on utilise des pompes électriques.

Avec un circuit de chauffage moderne, sans électricité tout s’arrête (régulation, pompes ont besoin d’électricité).

Dans un hôpital on prévoit toujours un groupe électrogène de secours pour les secteurs sensibles et prioritaires.

Pensons à notre dépendance à l’électricité, à l’internet, etc.

D’après vous, quelle est la température normale ?

Avez-vous des salles de classe trop chaudes ou trop froides ?

1°C de plus c’est 6% de consommation en plus

Voilà un bon sujet d'étude !

les chaudières fonctionnent à bas régime de 16h00 à 7h00, lorsque le bâtiment est inoccupé. On baisse donc la température pour économiser quand le bâtiment est inocupé. Par contre on ne peut pas tout arrêter car il faut pouvoir remonter assez vite les températures pour le début des cours.

Déjà répondu

Risques : Plus de possibilité de distribution de chaleur dans les parties hautes du bâtiment, corrosion des parties métalliques du circuit?

Infiltration, changement dans l'installation, etc. Aucun cicruit n'est 100% étanche.

Solution : Purge et ajouter de l’eau si nécessaire.

??

Pourquoi ne pas faire un calcul vous-même (estimation) ?

Historiquement il y avait une soute à charbon ou un stock de bois dans les bâtiments. Il était difficile d’acheminer ces énergie sous le toit. Pour le mazout, c’est aussi mieux d’avoir l’installation en bas à cause du risque d’écoulement.

Dans le cas d’une chaudière à gaz, il faut que le local dispose d’un mur plus faible pour qu’en cas d’explosion celui-ci cède et que la maison reste debout. Une solution consiste parfois à mettre la chaudière sous le toit qui fera ainsi office de «mur faible».

Oui, le circuit pourrait céder car la chaleur fait dilater l'eau qui prend plus de place. Pour éviter que cela se produise on utilise un vase d'expension qui permet à l'eau de prendre plus de place.

C’est de l’eau. Cette eau permet de transporter la chaleur dans tout le bâtiment (fluide caloporteur). L’eau circule dans un circuit fermé.

Toutes les énergie permettent de chauffer : Mazout, gaz naturel, bois, géothermie, solaire, charbon, électricité, etc. Faire de la chaleur c’est ce qu’il y a de plus simple.

On en produit souvent involontairement car la majeur partie des pertes se fait sous forme de chaleur.